Ici, VOTRE AUTONOMIE EN EAU

Le grand récapitulatifen 170 pages de tutos’ OFFERT

Avec mes 36 techniques essentielles et sereines au jardin

à appliquer d’urgence face à la sécheresse de ces jours-ci.

 pour une abondance d’eau gratuite
partout, pour tous

Les clés d’un jardin d’abondance même, et surtout, en cas de grandes chaleurs

Réservez ici votre exemplaire OFFERT,
 au format papier ET numérique 
Unbest-sellerSaine Abondance à ne pas rater pour un jardin vert et bien hydraté (etmalgré    les restrictions)

Car c’est LE problème qui nous concerne tous cette saison :

En France, 86 départements sont déjà placés en alerte et ont pris des arrêtés limitant strictement l’accès à l’eau depuis fin juillet [4].

Si vous habitez dans ces départements, cela signifie que tant que l’alerte n’est pas levée, vous ne pouvez plus arroser vos jardins avec l’eau du robinet (etPAS juste    vos pelouses).

C’est évidemmentdramatique pour vos plantes et pour vous   , qui voyezvos efforts du printemps ruinés par la sécheresse.

Et au vu de la météo des prochains jours, (ou des prévisions des climatologues pour les prochaines années) ce n’est pas prêt de s’améliorer !

MAIS des solutions existent, et mon livre va vous les apporter.

C’est une notice à suivre, simple.
Exceptionnellement offerte   ces jours-ci :

Accès immédiat depuis votre espace personnelLivraison numérique sous 4H
 Livraison papier, partout dans le monde, sous 4 semaines 

C’est LE mode d’emploi pourrécolter l’eau et optimiser vos ressources    tous les jours, toute l’année

Dès maintenant,
quel que soit votre niveau, votre jardin, votre climat,
et à n’importe quel moment, mais de la meilleure façon possible.

C’est un travail titanesque.

Ce livre ne vous donne pas des « astuces » d’arrosage à la volée que vous pourriez trouver facilement ailleurs.

Il traite le fond du sujet : du choix des plantes au traitement du sol, on verra ensemble toutes les techniquesqu’il faut cumuler    pour réellement créerun terrain autonome et résilient en eau.

Le fil rouge de ce manuel-bible, c’est L’ACTION :

que faire
au bon moment
 pour ne perdre AUCUNE goutte d’eau, de nulle part
(qu’elle vienne de votre foyer, ou de la pluie)

Car bien souvent, on a « assez », sans le savoir !

Comment savoir si c’est assez ?

Cela dépend de nombreux facteurs, comme :

Le type de plantes que vous cultivez (certaines consomment plus d’eau que d’autres),

L’approche du jardinage que vous souhaitez : assister à 100% les plantes, ou pas.

 Pour info, voici un tableau récapitulatif des besoins en eau en moyenne selon les principaux usages : 

Consommation d’eau au jardin [1]

Pour vous qui avez déjà des plantes au jardin, mon almanach vous aidera àdresser le bilan personnel de votre potager   , afin d’élaborer un plan d’action selon VOS critères.

 Pour prioriser LA bonne action, au bon moment, selon VOTRE situation, 

nous avons classé les 36 solutions selon le budget/temps dispo/saisonnalité et surtout, selon le délai de résultat :

• Solutions express
• Solutions moyen terme
• Solutions long terme

Mais aussi dans un calendrier qui récapitule ce qu’il faut absolument avoir mis en place à chaque saison.

 C’est mon almanach calendrier 100% sur l’eau et l’arrosage
(exceptionnellement OFFERT ces quelques jours, rien que pour VOUS  ).

Ces 36 solutions sont étaléessur les 4 saisons de l’année !   

Une vraie bible, j’en suis ultra fière !!

Ces 36 techniques vous font réellement gagner :

• En autonomie
• En économies
• Aux 4 saisons, car les besoins ne sont pas les mêmes en hiver ou en été (j’ai tout décrypté !)

 Vous pourriez récolter plusieurs milliers de litres d’eau par an.  C’est juste incroyable !

 Vous pourriez cultiver sur des terrains dont personne ne veut  , alors qu’il suffisait de connaître ces solutions !

Ces solutions sont à votre portée, même (et surtout)  si vous pensiez avoir ces conditions ingrates :

• que votre terrain soit en pente,
• que votre terrain soit raccordé à un branchement d’eau, ou pas,
• que vous soyez dans un climat aride,
• ou que vous soyez concerné par la sécheresse pendant plusieurs semaines, chaque été !

Il y aura des solutions uniques et immédiatement applicables.

C’est d’ailleurs en cumulant ces techniques que certains permaculteurs ont fait des EXPLOITS.

 Un permaculteur a réussi à cultiver SANS UNE SEULE GOUTTE D’EAU (et malgré les canicules) [5] ! 

Il s’agit de Pascal Poot. Il vit dans l’Hérault, au sud de la France.

La région connaît chaque année des pics de canicule et des périodes de sécheresse.

Pascal Poot aurait pu s’acharner à arroser deux à trois fois par jour et tenter de lutter contre les conditions naturelles de son jardin et de son climat.

Au lieu de ça, il a appris à faireAVEC la nature   .

Il a travaillé sur le long terme, et est parvenu à rendre ses plantes de plus en plus résistantes à la sécheresse.

Aujourd’hui, il se contente de faire deux choses au jardin :

1. semer
2. récolter 3 mois plus tard

Il n’a plus DU TOUT besoin d’arroser. Pas une seule fois.

Ses plantes sontcomplètement autonomes en eau    et l’abondance de récoltes est au rendez-vous : tomates, blettes, poireaux, épinards, fèves, courges… Il a de tout !

Alors vous le voyez, tout est possible.

Surtout que j’ai tout expliqué de A à Z, c’est pourquoi le livre fait plus de 170 pages.

C’est un vrai manuel pédagogique (accessible aux enfants), où vous ne serez pas lâché dans le vide.

En un clin d’œil, découvrez ce que personne ne vous dit :

J’ai réalisé ce guide pour mes proches et pour vous, en créant ce que j’aurais aimé avoir à mes tout débuts :zéro blabla + le cœur de la perma’ + les tutos’ pour se lancer.

 C’est pourquoi la trame de chaque solution présentée est toujours celle-ci : 

• je pars des questions qu’on se pose tous à chaque fois, quelle que soit la solution

EXEMPLE :  Pour de nombreux jardiniers, le pluviomètre, pourtant très utile, n’est pas maîtrisé à 100% :

 Comment interpréter les résultats ?
 Faut-il tenir compte de la pluie tombée sur 1 ou plusieurs jours ?
 À partir de quelle quantité de pluie tombée et sur quelle période n’est-il plus nécessaire d’arroser ?
 Où placer le pluviomètre ?
 Faut-il le nettoyer ?

 Etc.

• je précise pour chaque solution le coût d’achat ou d’installation

EXEMPLE : pour les oyas, on en trouve entre 10€ et 100€ l’unité, selon leur volume.

Partez du principe qu’une oya de 10 L de contenance peut fournir de l’eau aux plantes qui sont situées à 1m² de l’oya.

Je connais des personnes qui ont plus de 80 oyas plantés dans le jardin… et ils en sont ravis. Après, c’est sûr que c’est un budget ! Donc commencez petit, et puis dites-vous que c’est un investissement.

EXEMPLE  : pour la récupération d’eau de pluie, avec une cuve enterrée, le coût dépend de nombreux facteurs comme, là encore, sa contenance, sa matière ou le tarif de l’artisan pour la pose. Compter environ 3 500€ pour une cuve classique, j’entends par là celle en polyéthylène, d’un volume de 2 000 L.

• ou les alternatives gratuites pour des tutos’ maison
• je mets souvent des vidéos démos’
  (accessibles depuis la version numérique du livre) pour aller plus loin
• une foule de dessins faits maison, avec des propositions d’aménagements applicables chez vous
• des cas concrets et des retours d’expérience
• les contre-indications possibles

Récoltez l’eau gratuite des pluies d’automne !

L’eau : c’est le cœur de la permaculture, de vos récoltes, de la vie !

Avec la canicule de ces dernières semaines, votre potager est exposé au risque que toutes vos récoltes s’effondrent :ce qui n’est pas normal.   

Bien sûr, je parlerai de l’arrosage en détail, surtout dans les parties bonus, maisc’est un leurre de croire que l’arrosage résout tout.   

L’eau, c’est un immense puzzle à mettre en place, dont l’arrosage n’est qu’une seule pièce.

 Car l’eau, c’est le facteur n°1 de vos échecs, comme de vos réussites : 

Trop d’eau, pas assez d’eau, pic d’eau, eau peu nutritive…

99% des jardiniers n’ont pas assez d’eau, ou la gèrent mal (souvent sans le savoir).

 En somme, cet almanach EAU OFFERT exceptionnellement   cette semaine, c’est votre passe-droit
 vers la sérénité immédiate, dès ce mois d’août et tous les suivants : 

Un moindre arrosage

Et l’assurance d’arroser comme un pro

Moins de gâchis, pour plus d’économies

Dans le respect de la nature

L’abondance d’eau chaque jour au jardin, sans plus y penser

Des stocks d’eau aux 4 coins du jardin,
de manière discrète et esthétique

Des solutions autonomes et qui durent plusieurs générations

L’assurance que votre jardin sache capter – collecter – distribuer la précieuse eau au jardin, sans vous !

La garantie de récupérer plusieurs milliers de litres dès cet automne, et toute l’année

J’ai réalisé un tour de force (informations + dessins + vidéos) dans cet almanach sur l’eau, de plus de 170 pages.

Vous n’êtes pas obligé de me croire sur parole.

Voyez plutôt ce qu’en disent les lecteurs qui ont déjà acheté et reçu mon livre :

  

Mais VOUS, vous pourriez faire partie des tout premiers chanceux qui le recevront chez eux, GRATUITEMENT.

Voyons maintenant en détail l’intégralité des 4 chapitres  .

Chapitre 1 – Par où commencer –
 La méthodo’ universelle en 3 étapes 

C’est la toute première chose à faire.

Tout est détaillé dans les 10 premières pages !
En voici les grandes lignes :

 Que vous soyez locataire, propriétaire, débutant en jardinage, ou averti depuis une quarantaine d’années, la méthode à suivre est toujours la même : 

• Faire ce que j’appelle « votre bilan eau ».
• Établir vos besoins en eau (ceux de vos plantes, et de votre sol), aux 4 saisons.
• Installer les solutions-eau qui vous manquent.

 Des chiffres, des calculs : établissons ensemble    votre BILAN EAU 

À moins de vivre dans le désert, vous avez forcément un peu d’eau à disposition. Par exemple :

• la pluie,
• la rosée,
• une nappe phréatique invisible et pourtant sous vos pieds,
• ou, évidemment, l’eau que vous utilisez au quotidien et que vous pourriez bien récupérer au jardin…

 Mais ces eaux-là ne sont pas toujours connues, collectées, utilisées. 

C’est bien dommage, car dans la majorité des climats tempérés, ces eaux cumulées sont suffisantes pour arroser vos plantes, eh oui !

D’ailleurs, dès septembre et dans les mois qui suivront, une bonne partie de cette eau gratuite va s’inviter dans votre jardin. C’est doncaujourd’hui le MEILLEUR moment   pour apprendre à la stocker d’ici là !

 Pour faire votre bilan-eau, nous ferons les calculs et les estimations ensemble. 

On découvrira dans ces premières pages mes outils, mes calculs, mes sites, pour l’identifier, le calculer au mieux, aux 4 saisons.

Vous repartirez avec des fiches techniques à imprimer, en plus du livre, pour que cela soit plus facile à organiser chez vous.

Chapitre 2  – Les solutions
 express’ 

Par « express’ », j’entends moins de 5 min pour les mettre en place
(à acheter ou à faire maison), pour des résultats immédiats !

Pour ceux d’entre vous qui sont confrontés aux restrictions sur l’arrosage et ont besoin d’une solution d’urgence, c’est LE chapitre qui va sauver vos récoltes de cet été !

 Tout est détaillé dans plus de 20 pages. Voici quelques aperçus  :

SOLUTION N°1 – C’EST LE RÉFLEXE QUOTIDIEN DES JARDINIERS MALINS

À faire chaque soir, ça prend littéralement 1 min top chrono, ça ne coûte pas cher, et on peut le faire soi-même !

Son usage est ancestral, même si les premières réelles preuves remontent à l’élève de Galilée, au XVII^e siècle.

Suspens !

 SOLUTION N°2 – TOUT LE MONDE EN PARLE EN PERMA’, MAIS PAS TOUJOURS DE MANIÈRE PRO – attention aux faux espoirs, je vous explique tout. 

Cette solution magique, c’est l’oya  .

Votre meilleur allié pour un arrosage maîtrisé (surtout si vous partez en vacances cet été !!)

 Je n’arrose plus la plante ni le sol,
 mais c’est un drôle de pot en terre cuite,
 qui se charge du reste à ma place… 

 Résultat : jusqu’à -75 % de besoins en arrosage… et de sérieuses économies en eau ! 

L’oya permet de maintenir le taux d’humidité du sol que les plantes souhaitent.

Si elles ont besoin d’eau : l’oya en fournit.

Si elles n’en ont pas besoin : l’oya ne fournit rien !

Magique, on vous dit :

✔ pour le jardinier : avec un oya, plus de corvée d’arrosage quotidien,

✔ pour vos plantes surtout : fini les arrosages stressants, irréguliers, « au pifomètre » !

✔ Finie la maladie de la mouche du terreau des semis et des plantons (les larves des sciarides qu’on peut difficilement éviter sans oya, puisque le terreau doit toujours être humide)

 Le résultat est juste bluffant, les plantes se portent mieux, et on le voit en quelques jours à peine : 

Oui mais attention – on vous vend l’idée sans les explications agronomiques, ni les conseils vécus qui font toute la différence.

Exemples :

NON je suis navrée, les recettes des blogs « faites votre oya maison » ou « cassez quelques vieux pots pour faire un oya » ne marchent pas.

 Je le répète : n’importe quel pot de terre cuite ne peut PAS    faire office d’oya. 

• La preuve par le bon sens : vos pots de terre cuite sont faits pour contenir l’eau de votre pot, pas pour la diffuser.
• L’oya n’est pas une poterie comme une autre : la volumétrie de la terre et le type de terre sont tout un art de potier. La matière de ce récipient naturel est microporeuse, ce qui permet aux gouttes de se diffuser lentement dans le sol, au contact des racines à proximité.
• C’est une poterie qui est façonnée après de savants calculs, fabriquée de manière à avoir une porosité optimale, c’est-à-dire une porosité qui délivre la bonne quantité d’eau, celle qui est nécessaire pour la plante.

Dans mon livre, pour chaque solution, je précise ce genre de détails, car sinon, vous serez déçu et vous n’aurez pas les résultats escomptés.

Mais encore pire : vous ne saurez même pas pourquoi !

Vous risquez de tourner le dos à la permaculture alors qu’on vous avait mal expliqué les choses, ou pas du tout.

Mon livre vous forme    , c’est toute la différence pour votre autonomie.

Allez, encore un exemple sur l’oya !

 9 fois sur 10, on vous dit « planter l’oya ». Oui, mais… voici l’astuce que si peu connaissent… 

Et qui change tout !!

On va planter l’oya comme on plante un planton : dans une terre arrosée et meuble, eh oui, logique.

1. Donc, concrètement, vous posez l’oya au sol : personnellement, je délimite sa taille en parsemant de la farine autour, avec 5 cm de marge.

2. Puis je creuse son trou.

3. Vérifiez que l’oya rentre bien dedans. Bien, retirez-le. Il vous faut passer à l’étape cruciale que peu font : bien ameublir la terre encore autour de l’oya ! Pour cela vous pouvez encore utiliser la farine pour saupoudrer un nouveau pourtour, et bien l’aérer (avec une grelinette de préférence, ou à la bêche exceptionnellement).

4. Ensuite, vous remettez l’oya, et la terre meuble autour, et vous arrosez en abondance l’oya, la terre autour (et bien sûr l’intérieur de l’oya).

5. Le but est de créer une sorte de boue autour de l’oya !

Puis, quelques jours après, vous pourrez mettre vos semis ou plantons. L’astuce pour certaines plantes comme la tomate consiste à bien les coucher.

 SOLUTION N°3 – DES CONSEILS INÉDITS SUR LE PAILLAGE (ORGANIQUE OU MINÉRAL)  pour un paillage qui garde réellement l’humidité en cas de forte chaleur, comme cet été, et protège votre sol des pluies d’automne.

À chaque fois que j’explique le paillage ainsi, ça fait « tilt » !

Voici quelques retours :

 SOLUTION N°4- J’EN CONVIENS, UNE IDÉE UN PEU FOLLE ET PEU CONNUE, MAIS QUI MARCHE ! 

Imaginez que l’eau de ces arrosoirs pleins vienne de la rosée du matin… captée !

Ce rêve un peu fou est aujourd’hui une réalité : 

où que vous soyez dans le monde, même dans les régions les plus arides de la planète, il est possible de récolter l’eau présente… dans l’air !

 Cette idée a pu se concrétiser avec les travaux d’un chercheur français, Daniel Beysens  : fondateur de OPUR (Organisation Pour l’Utilisation de la Rosée) avec Iryna Mylymuk.

Aujourd’hui, ils continuent de mener des projets en Inde, en Croatie, en Israël ou encore en Corse, avec l’installation de condenseurs pour récupérer la rosée.

Et ça marche !

Au Chili, malgré les années sèches, de tels filets ont permis d’alimenter en eau un village de pêcheurs, avec 11 000 litres d’eau captés par jour [3].

 SOLUTION N °5 – La spécialité de Saine Abondance ! 

Ou comment faire ultra-local pour récupérer de l’eau que vous aviez déjà chez vous, et que vous jetez !

Plus de 17 min de tutos’ vidéo où je vous explique tout cela, de vive voix   

Bon, je ne peux pas tout mettre ici, passons rapidement au chapitre 3 !

Chapitre 3  – Les solutions
 moyen terme 

Par « moyen terme », j’entends les techniques
qu’il faut absolument avoir anticipé
avant toute plantation

 Tout est détaillé dans plus de 30 pages. Voici quelques aperçus :

SOLUTIONS N °6 et 7 – On n’y pense pas, et pourtant… !

Une fois que vous aurez lu ces passages, vous n’aurez qu’une seule question, comme moi…

Pourquoi tous les immeubles et toutes les maisons ne le font pas ?

 De quoi gagner plusieurs milliers de litres d’eau par an ! C’est juste fou : 

• ce sont des techniques à faire idéalement avant tout projet de construction,
• mais bien sûr, à chaque fois, je propose des alternatives pour optimiser l’existant,
• que vous soyez locataire ou proprio, avec ou sans jardin, même sur balcon !
• … Il n’est jamais trop tard ! C’est hyper simple à mettre en place.
• Je vous montre les étapes, les calculs à faire – le type de matériel à choisir, avec photos à l’appui !
• Ainsi que les coûts totaux (compter moins de 100€) pour leurs installations en moyenne.

Vous ne serez jamais seul !

Dès qu’il y a des installations techniques, j’ai pris soin d’aller dans tous les détails. Par exemple, rien que pour la solution n°7 : plus de 10 pages de tutos’ et explications !!!

 Pour avoir regardé ailleurs… on retrouve rarement ce genre d’accompagnement. 

EXEMPLE – si je vous dis « attention, pour ceux qui sont en balcon, ne dépassez pas 350kg/m² de poids, et ça va vite, si vous stockez de l’eau sur le balcon », je ne vais pas m’en tenir là, non.

Je vais au bout des détails pour vous aider très concrètement.

 SOLUTION N°8 – HYPER IMPORTANTE POUR TOUS, PARTOUT – personne ne vous en parle, pourtant, c’est la seule vraie différence sur le long terme 

Dans ce livre-bible, je ne parle pas seulement de l’eau, de collecter l’eau du ciel… non !

Je parle de tout ce qui a du sens en permaculture pourrecréer un écosystème propice à une abondance d’eau   .

Et j’espère que vous me voyez venir avec mes gros sabots…

Je veux parler du SOL !

C’est lui qui fait toute la différence.

Même si vous habitiez sous les tropiques avec une abondance de pluie, sans un sol « de structure de qualité », c’est comme si vous aviez zéro pluie, ou une vraie terre-passoire.

Le sol est comme une éponge.

Et cette éponge, elle doit être saine : ni passoire, ni bloc de béton.

Connaissez-vous l’état actuel de votre sol ? 

Non ?

Il le FAUT !

J’ai hésité à le mettre dans le chapitre 1 « pour bien commencer », avec les étapes prioritaires universelles tellement c’est crucial.

Mais finalement je l’ai classé ici, dans le chapitre moyen terme, car c’est au bout de quelques saisons qu’on s’aperçoit de la qualité d’un sol sain.

 Allons encore plus loin avec une notion que le grand public ignore 

et pourtant, c’est bien avec cela qu’ils calculent et créent les meilleurs terreaux possibles que vous achetez.

Dans ce chapitre, vous découvrirez la notion de « réserve utile », très utile, oui !

Promis, après cela, vous ne verrez plus le sol ni l’arrosage de la même manière !

 C’est exactement ce genre d’informations qui permet de faire la différence entre les jardiniers 

• Qui travaillent de moins en moins au jardin
• Comparés à ceux qui « recommencent de zéro » chaque année.

Passons maintenant au chapitre suivant : celui qui vous aidera à anticiper les sécheresses (ou les pluies diluviennes) de ces prochains mois ou années et bénéficiera AUSSI aux générations futures !

Chapitre 4 – Les solutions
 LONG terme 

Par « long terme », j’entends tout ce dont vous jouissez aujourd’hui,
qui est le fruit de nos anciens,
et charge à nous de l’entretenir pour la relève.

Idéales si vous êtes propriétaire,
pour léguer un terrain autonome en eau,
pour plusieurs générations !

 Tout est détaillé dans plus de 14 pages. Voici quelques aperçus  :

 SOLUTION POUR LES TERRAINS EN PENTE (MÊME DE 1°) – AU CŒUR DE LA PERMA’ 

Je vous présente clé en main une technique dont on parle beaucoup en permaculture, et qui fait débat :

Dans le jargon de la permaculture francophone, Français et Québécois ne se mettent pas toujours d’accord, car des concepts écrits en anglais ont mal été traduits en français !

C’est pourquoi le mot « baissière » est souvent utilisé à tort et à travers, et ne désigne pas forcément toujours ce qu’on croit à l’oral : assurez-vous de vérifier par photo pour savoir de quoi parle votre interlocuteur  .

 En somme, pour moi, c’est simplement un trou… en amont, ou autour d’un monticule. 

L’idée, c’est de faire une sorte de presqu’île dans le jardin, ou presque, comme une mini bouée d’eau pour la plante à proximité.

Attrape-moi si tu peux !

Les gouttes d’eau qui tombent du ciel sur votre jardin, qu’il soit à plat, ou en pente, sont pressées de retourner à l’océan.

Si on veut profiter de leur compagnie, il faut donc aménager le terrain pour leur dire de s’attarder un peu chez vous, près de vos plantations.

 La baissière est souvent utilisée pour capter l’eau pour les arbres, les fruitiers qui ont des racines très profondes. 

L’objectif :

Empêcher le ruissèlement pour capter l’eau sur une petite zone, et surtout lui permettre de s’infiltrer en profondeur, pour créer un réservoir d’eau au « sous-sol », idéalement à plusieurs mètres de profondeur, pour fournir de l’eau à cet arbre, et à ceux alentours.

Et on voit bien que ça renforce l’humidité aux pieds :

Vous trouverez tout ce qu’il faut dans ce chapitre, de manière simple, pour réaliser cette technique dès ce mois-ci, afin de capter au mieux les rares pluies de ces prochaines semaines, ou idéalement à l’automne, en ce qui concerne la plantation des arbres et arbustes (haie, fruitier, etc.)

Y compris les contre-indications !

2 mises en garde :

 Est-ce adapté à tous les types de sols ?
 NON 

C’est plutôt recommandé pour les terrains en pente (même légèrement), où l’eau ruisselle trop vite à chaque pluie. D’ailleurs, si vous avez un jardin en terrasse (comme les rizières), c’est aussi un « effet baissière », qui ralentit la course de l’eau et la capte localement pour qu’elle s’infiltre en profondeur.

Est-ce adapté à tout type de plante ?
NON

S’il pleut souvent, la baissière sera souvent pleine, et donc le massif/butte à côté a tout le temps « les pieds dans l’eau ». Cela peut convenir aux plantes qui aiment cela comme les aulnes, saules, peupliers, menthes, cressons, choux (les choux aiment les sols humides, mais pas détrempés), prêles, mais pas aux autres (comme les romarins, lavandes, lauriers sauce, oignons, échalotes, pommes de terre, ails, topinambours).

Pour rappel, c’est à la base conçu pour les climats où il n’y a pas trop de pluie, pour mieux la capter, et/ou dans les climats où la pluie est torrentielle : pour la freiner et lui donner le temps, l’opportunité, de « s’enraciner » dans votre terrain. Donc dans ces cas-là, des plantes qui aiment l’eau, mais de manière modérée.

Allez, encore un exemple de ce chapitre aux solutions de long terme, aussi inédites qu’efficientes !

 LA SOLUTION DU SAUMON QUI REMONTE LE COURANT…
 J’AI NOMMÉ LA POMPE À BÉLIER
➜Un truc de fou !

Pourquoi plus personne n’en parle ?!

 Saviez-vous que les frères Montgolfier nous ont légué autre chose que les montgolfières ? 

Nous sommes dans les années 1790, en France.

Ces ingénieux frères découvrent toutes sortes de prouesses techniques, dont le fameux « coup de bélier », qui permet le développement d’une pompe « magique ». C’est la force de l’eau uniquement (et le système d’un clapet) qui crée le va-et-vient de l’eau dans le tuyau pour l’emprisonner, et crée une surpression qui permet de la faire monter malgré la gravité, pour l’acheminer dans des zones improbables, 10 fois plus hautes que son point de collecte !

Magique car :

• elle fonctionne uniquement grâce à la force cinétique de l’eau ! Elle permet donc de cultiver sur des terrains sans accès à un raccordement d’eau.
• Encore mieux : elle permet de cultiver sur le sommet d’une montagne en puisant l’eau du ravin en contrebas, le tout sans électricité, ni fuel, ni motricité.
• Inventée avant l’usage des énergies fossiles, et actuellement remise au goût du jour notamment en Himalaya ou aux Philippines, dans des zones reculées où le raccordement à l’eau n’est pas possible facilement.

 Cette pompe change la vie des jardiniers, des habitants, voire de pays entiers ! 

À l’époque, elle est beaucoup utilisée par les particuliers, pour l’agriculture vivrière, mais certains pays comme la Russie ont fait de grands tests à l’échelle d’immenses terrains pour utiliser avec brio cette technique d’arrosage gratuite pour les agriculteurs.

 Ils remontent de l’eau de ravins jusqu’aux sommets, sur plusieurs centaines de mètres ! 

Et vous ? Ça vous tente ?

Le tout sans force humaine, ni motricité, ni électricité : une pompe seulement alimentée par la force de l’eau !!

 La pompe à bélier, c’est LA pompe « autonome », sans électricité ! 

Pourquoi « bélier » ? C’est l’eau qui fonce puis « boom » elle se retrouve dans une impasse, elle fait alors chemin inverse et « boom », elle donne comme un « coup de bélier » puissant, qui va créer la pression et la canaliser vers le haut, où on souhaite la récupérer.

En France, il y a encore des passionnés et des ingénieurs qui publient des livres ou des blogs précisant le pourquoi du comment, les tutos’ etc. et proposant à la vente d’anciens béliers, du siècle passé, encore fonctionnels.Je vous les recommande !   [6]

Mais si vous avez l’âme d’un bricoleur, il est possible de faire une pompe à bélier chez vous.

 Comment fonctionne-t-elle ?
 Pourquoi en parle-t-on si peu ?
 Avez-vous les conditions requises pour la tester chez vous ?
 Où l’acheter de nos jours ?
 Comment la fabriquer chez vous ?
 Où l’installer ?
 Quelle alternative pour les terrains plats ? 

Toutes les réponses sont dans ce livre !

Il vous faut absolument découvrir cette technique et la partager au plus grand nombre autour de vous.

ET ce n’est pas tout ! Ce livre contient bien d’autres surprises…

BONUS 1 – Le grand
calendrier récapitulatif

Vous l’aurez compris, toutes les solutions de ces différents chapitres peuvent se réaliser à tout moment dans l’année, dans votre parcours de vie, selon vos envies, vos budgets, votre temps, et la taille du jardin.

Mais ici, nous souhaitions les classer encore autrement.

Avec le prisme de date butoir : « qu’est-ce que je dois absolument avoir mis en place en amont pour ne pas rater l’occasion de l’année ? »

Par exemple, pour les eaux de pluie, c’est bien connu que le pic de précipitations a généralement lieu à l’automne ou au printemps.

Eh bien, pour chaque solution, on vous a mis les périodes idéales pour les concrétiser au fil de l’année !

BONUS 2 – Si vous partez en vacances

A l’approche des grands départs estivaux, je parie que c’est la partie que vous allez vouloir consulter de suite !

En votre absence, les plantes ont besoin d’eau, de nutriments et de lumière.

 Le seul facteur sur lequel vous avez moins de prise, c’est la lumière. 

Ne soyez pas trop angoissé et ne mettez surtout pas trop d’eau en votre absence (type : faire un bain pour les plantes la veille du départ). Grave erreur !

Rappelez-vous que vous pourrez plus facilement récupérer une plante qui a subi un manque d’eau plutôt qu’une plante qui a subi un excès d’eau !

 Dans ce chapitre, vous aurez également plus de 18 min de vidéo démo et conseils pour retrouver des plantes resplendissantes et saines après vos vacances : 

• Si vous partez moins de 2 semaines
• Si vous partez plus de 2 semaines

BONUS 3 – Les bons gestes
en cas de canicule

Les plantes ont tout le temps besoin de s’hydrater (comme nous), elles sont composées à 90% d’eau !

 Par temps de canicule, plusieurs techniques à combiner s’imposent : 

• Ombrage
• Modification du type d’arrosage
• Goutte-à-goutte
• (en plus des 36 solutions vues en détail en amont dans le livre)

 Et ne vous faites pas avoir : 

Ceux qui disent cultiver sans AUCUNE eau, même en temps de canicule… cumulent en réalité bien souvent ces 2 astuces :

• Avoir un sol déjà vivant (bon humus dans le sol, paillage à la surface).
• « Forcer » les plantes à développer un système racinaire profond, pour devenir plus « robustes », si l’on peut dire, en allant capter l’eau encore plus loin dans le sol.

C’est possible, ça ne fait aucun doute, mais il vous faut plusieurs saisons, voire plusieurs années, pour y parvenir (selon votre terrain de départ).

Or là, ce que je vous propose, c’est une réponse immédiate pourfaire face à la canicule de cet été, mais surtout de ces prochaines années   .

BONUS 4 – La liste des plantes gourmandes (OU PAS) en eau

Je ne le dirai jamais assez :

privilégiez des plantations adaptées au bilan eau actuel de chez vous…

En fonction de leur origine et de leurs caractéristiques, les plantes n’ont pas les mêmes besoins en eau, certaines sont plus exigeantes que d’autres.

D’ailleurs, le saviez-vous ?

✔ Pour savoir si une plante craint ou non les terrains humides ou secs, l’observation de ses feuilles donne de sérieux indices.

✔ À noter également que les plantes « transpirent », comme vous et moi, et donc elles ont soif ! Après lecture, vous saurez tout sur la question de l’évapotranspiration.

BONUS 5 – TOUT CE QU’IL FAUT SAVOIR SUR L’ARROSAGE

Trop d’eau, c’est pire que pas assez !

 Avec toutes les informations et les conseils de ces chapitres, vous serez paré pour cet été, pour anticiper les pluies de cet automne et toutes les saisons à venir ! 

✔ Et vous verrez en moins d’un mois la différence dans votre approche de l’eau et du jardinage.

✔ Plus important encore, vous le sentirez dans vos fruits et légumes, qui auront encore plus de goût !

✔ Et ce savoir (faire), vous l’aurez acquisà vie !   

Comment vous procurer ce pense-bête OFFERT  
 pour économiser l’eau de votre jardin ?

Accès immédiat depuis votre espace personnelLivraison numérique sous 4H
 Livraison papier offerte, partout dans le monde, sous 4 semaines

Pour vous aider à lutter contre ces sécheresses qui n’en finissent pas d’affecter votre jardin…  

Ce livre vous est OFFERT
exceptionnellement et uniquement sur cette page,  

pour tout abonnement d’un an à laRevue Saine Abondance :

32 pages de conseils de pros’ par mois,
pendant 12 mois.

Soit384 pages de tutos, d’astuces et de secrets inédits   pour démarrer du bon pied,
dès le mois prochain, avec le numéro de septembre :

Livraison numérique le 1er de chaque mois à 20H dans votre boîte mail,

Et livraison papier (optionnelle) à partir de votre second numéro, aux alentours du 10 dans votre boîte aux lettres, partout dans le monde.

Concrètement, cela signifie qu’en passant commandemaintenant   pour obtenir votre livre sur l’eau GRATUITEMENT,il vous suffit de vous abonner sur cette page à ma toute première revue historique, pendant un an   : LaRevue Saine Abondance.

12 mois de conseils de pros
pour accompagner votre livre de170 pages, OFFERT   !

Pour la première fois dans l’histoire de Saine Abondance…

Votre année d’abonnement vous permet de recevoir GRATUITEMENT ce guide ultra-complet pour mettre en place votre autonomie en eau ET en légumes au jardin, dès cette année.

Et croyez-moi, vous allez en sortir doublement gagnant, vu tout ce que cette revue va vous apporter !

Cet abonnement d’un an est à destination de ceux qui veulent :

• Reprendre en main leuralimentation  
• Fairemoins de courses   au supermarché
• Revitaliser leur lopin   de terre pour faire revenir les papillons, les oiseaux, les pollinisateurs
• Viserl’autonomie alimentaire   en récoltant 12 mois sur 12, dès 2023
• Reconnecter leurs enfants   à la nature
• Gagner leur autonomie enrecettes et remèdes naturels   avec ce qu’ils cultivent dans leur jardin
• Et bien sûr,recevoir votrePense-bête du jardinier économe en eau, en version numérique et papier  , sans débourser le moindre centime !

Offre exceptionnelle et limitée, à ne pas manquer !
Combien coûte la Revue Saine Abondance ?

Pour bénéficier de cette offre exceptionnelle, deux options s’offrent à vous.

1.Avec votre Pense-bête du jardinier autonome en eau, OFFERT, vous souhaitez recevoir vos 12 revues au format numérique   ?

Dans ce cas-là, votre abonnement annuel vous coûtera seulement30€/an.

Vous recevrez tous les 1er du mois à 20H dans votre boîte mail le nouveau numéro de maRevue Saine Abondance, et ce, pendant 12 mois. Et si vous souhaitez continuer l’aventure au-delà de cette année offerte…
Votre abonnement numérique pourra être renouvelé au même prix.

2.Avec votre Pense-bête du jardinier autonome en eau, OFFERT, vous souhaitez recevoir vos 12 revues au format numérique ET papier ?

Dans ce cas-là, pour seulement 20€ de plus (soit 50€/an au total, frais d’impression et de livraison inclus), vous recevrez vos12 revues papier directement à votre domicile  , où que vous viviez.

Un nouveau numéro vous attendra dans votre boîte aux lettres aux alentours du 10 de chaque mois, et vous pourrez l’emporter au jardin avec vous.

Vous recevrez également tous les 1er du mois à 20H dans votre boîte mail le nouveau numéro de maRevue Saine Abondance, et ce, pendant 12 mois.
Et si vous souhaitez continuer l’aventure au-delà de cette année offerte…
Votre abonnement numérique ET papier pourra être renouvelé au prix de50€/an seulement.

OFFERT ICI (seulement  ) :

votre pense-bête pour enclencher votre autonomie en eau au jardin et prendre plusieurs saisons d’avance, dès demain.

Accès immédiat depuis votre espace personnel
Livraison numérique sous 4H
 Livraison papier offerte, partout dans le monde, sous 4 semaines 

 Quand vous recevrez cette bible papier à la maison, vous verrez que c’est vraiment un CADEAU EN OR que je vous fais là    :

✔ Une masse d’infos de qualité qu’on ne retrouve pas ainsi ailleurs.

✔ Chaque solution vous fait gagner des centaines de litres d’eau, et autant d’euros !

✔ Un vrai livre qu’on peut annoter et embarquer au jardin.

✔ Au format carré, très pratique dans les bibliothèques et les sacs !

 C’est assez difficile de vous le décrire, car c’est à la fois : 

• Un livre
• Un cours de jardinage
• Un almanach
• Un calendrier
• Une discussion intime entre jardiniers (vous et moi)

 Son format numérique vous permet d’accéder en 1 clic à des vidéos tutos’ 

C’est effectivement un document pensé en 3D !

Vous y trouverez des vidéos tutos’ accessibles en 1 clic depuis la version numérique, comme :

• Les tests à opérer d’urgence en ce début août 2022, pour connaître la qualité actuelle de la structure de votre sol et ainsi le préparer au mieux avant le retour de l’automne et de la pluie tant attendue (encore faut-il réussir à la capter) !
• Ou encore les astuces en eau avant de partir en vacances cette année

Ce livre bible est en réalité l’équivalent de 3 livres :

Chacun des 3 chapitres « solutions court terme », « moyen terme » ou « long terme » est un guide en soi.

Sans compter la foule de bonus inclus dans le livre.

Le tout condensé en 1 seul document OFFERT pour VOUS, avec l’approche d’un calendrier pour être utile et pratique au quotidien.

Et VOUS, vous êtes 100% gagnant, carvous n’aurez pas déboursé un centime   pour recevoir ce guide ultra-complet.

C’est le cadeau idéal pour accompagner vos 12 numéros de laRevue Saine Abondance, pour au moins 3 raisons :  

1. ces revues et ce livre offert vont vous aider à enclencher vos 12 prochains mois d’autonomie en fruits, en légumes ET en eau   !
   Ce guide (plus de 170 pages), c’est un mode d’emploi thématique, pour vous aider à récolter de l’eau gratuitement ET la réutiliser pour créer votre jardin d’abondance. Mais ce n’est pas un calendrier de récoltes, et je n’y parle donc pas des légumes que vous pouvez faire pousser chez vous… Ma revue, elle, au contraire, est uncours de jardinage   mensuel. Vous y trouverez des idées de plantations ultra détaillées, car c’est LA base pour jardiner et récolter tous les mois. En prime, vous saurez comment maximiser vos rendements avec les 36 techniques de votrePense-bête. Car l’objectif, ce n'est pas simplement de récolter l’eau de la pluie pour le plaisir, mais bien d’en faire bénéficier vos récoltes !
2. Cette revue est axée 100% permaculture et associations de plantes  . Chaque mois, je présente 3 plantes phares à associer pour plus de rendements, de résilience au jardin, et de bien-être pour la biodiversité.
3. Avec vos 12 revues et ce Pense-bête du jardinier économe en eau, OFFERT, vous en saurez déjà plus que la plupart sur la permaculture  , car vous y trouverez des informations et astuces qu’on ne trouve nulle part ailleurs.
   LaRevue est conçue avec les expertes de Mille Variétés anciennes, premier conservatoire de semences anciennes de France  , des professionnelles en jardinage naturel et en permaculture. Vous êtes juste entre les meilleures mains qui soient !

Vous l’aurez compris, ce duoAlmanach 100% eau etLa Revue Saine Abondance ont donc pour mot d’ordre :

s-é-r-é-n-i-t-é

Fini le stress de voir votre jardin souffrir de la canicule sous vos yeux sans ne RIEN pouvoir faire, ou la simple peur de faire faux et de passer à côté du potager de vos rêves…

S’il y a bien une chose que l’offre que je vous présente aujourd’hui vous apportera, c’est la sérénité : « penser plus, pour travailler moins et se relaxer », comme on dit en perma’ !   

Cadeau en OR que je ne suis pas sûre de pouvoir vous refaire de sitôt !

 36 solutions basées sur du vécu,
et du bon sens 

L’eau, plus que jamais, dépend de tous les autres éléments de votre jardin, par exemple : le type de plantes, le type de sol, le type de climat bien sûr, mais aussi le type d’arrosage, le type de jardinage, etc.

 Derrière chaque astuce plus ou moins économe en eau se cache une stratégie, un principe de permaculture. 

Ces principes vous seront distillés au fil de votre lecture, de manière simple et intuitive.

Tout ceci sera expliqué simplement,
au fil de l’eau, au fil des pages, au fil des saisons.

Ce livre les a aidés à devenir économes en eau au jardin !

Voyez plutôt ce qu’en disent ceux qui l’ont déjà testé : ils sont formels, ce livre les aide à transformer leur jardin au quotidien !

   

Vous êtes 100% gagnant !

Vous disposez de 90 jours (à compter de la date de votre commande) pour faire valoir votre garantie « Satisfait ou remboursé » et être remboursé intégralement si votre Revue Saine Abondance ne vous donne pas entière satisfaction.

Comme d’habitude, il vous suffit de m’en faire la demande via mon formulaire de contact !

RÉCAPITULONS-NOUS

Dépêchez-vous !

Vous êtes chanceux : des centaines de lecteurs Saine Abondance ont déjà reçu ce Pense-bête du jardinier économe en eau, mais VOUS serez parmi les premiers à l’obtenir 100% gratuitement !

Pour cela, il vous suffit de vous abonner à la Revue Saine Abondance

AVANT le   à minuit, dernier délai !

Pour poser dès MAINTENANT les bases de votre autonomie en eau ET en légumes,

avec votre année de coaching jardin garantie
« Satisfait ou remboursé » pendant 3 mois

votre Almanach sur l’eau papier et numérique OFFERT,

Ne laissez pas passer votre chance !

 Vous êtes au bon endroit,
il y a plus qu’à réserver votre exemplaire OFFERT. 

Et si vous avez la moindre question, n’hésitez pas à m’écrire sur mon formulaire de contact .

Il est temps de prendre soin de vous,

Florence
Saine Abondance

FAQ

Sources :

[1] Blaise Leclerc, 2017. J’économise l’eau au potager – Quand et Comment arroser. Éditions Terre Vivante.

[2]  https://www.permaculturenews.org/author/geofflawton/ 

[3] Imad Lekouch, 2010.  Production d’eau potable par condensation passive de l’humidité atmosphérique (rosée)  . Physique Atmosphérique et Océanique [physics.ao-ph]. Université Pierre et Marie Curie – Paris VI; Université Ibn Zohr, Agadir, 2010. Français. pastel-00547593

[4] https://www.lefigaro.fr/sciences/secheresse-86-departements-places-en-alerte-20220725 

[5] « Pascal Poot : Ce Français qui cultive ses légumes SANS EAU ! »  Comment-economiser.fr  , 2 septembre 2019.

[6] Voici quelques liens utiles pour en savoir plus sur ces pompes à béliers : 

https://belierhydraulique.blogspot.com/ 

https://www.youtube.com/watch?v=GInZfko0cW0 

http://www.regispetit.fr/belier.htm 

© Saine Abondance 

CGV  -  Mentions légales  - Politique de confidentialité - CGU

Saine Abondance SA, c/o Fimisa S.A. Avenue de Morges 88, 1004 Lausanne SUISSE